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La France vise un allègement réglementaire bancaire en ajustant les règles européennes en réponse à la révision américaine des réglementations financières. L’objectif est de réduire les exigences de fonds propres pour les aligner sur celles des banques américaines. Cette harmonisation est jugée nécessaire pour garantir une concurrence équitable entre les établissements financiers des deux continents. Les autorités françaises estiment que cette révision améliorera la compétitivité et la stabilité financière globale. Ainsi, la France s’efforce de trouver un équilibre entre régulation efficace et flexibilité économique.
Un ajustement des exigences de fonds propres en réponse à trump
La France propose de modifier les règles de fonds propres pour les principales banques de la zone euro. Cette initiative cible spécifiquement les banques dont le bilan excède 100 milliards d’euros. Jusqu’à maintenant, ces institutions devaient se conformer à deux exigences distinctes en matière de fonds propres. La nouvelle proposition introduit une exigence unique, simplifiant ainsi le calcul des réserves nécessaires pour absorber d’éventuelles pertes. Le but est de simplifier les obligations bancaires tout en optimisant la gestion des ressources financières. Cette réforme pourrait avoir un impact significatif sur la manière dont les banques gèrent leurs fonds propres à l’avenir.
La réponse aux stratégies américaines
Depuis une décennie, des réglementations strictes ont été mises en œuvre pour prévenir une nouvelle crise financière. Toutefois, un vent de déréglementation souffle depuis les États-Unis, particulièrement sous l’administration Trump. Un document français de quatre pages à la BCE met en avant les avantages compétitifs des banques américaines. La France propose de simplifier certaines exigences pour renforcer la compétitivité sans assouplir excessivement les règles. Cette démarche vise à trouver un équilibre entre compétitivité et stabilité, dans un contexte financier mondial en constante évolution.
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Vers une harmonisation des normes
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Le projet propose de combiner TLAC avec l’exigence MREL européenne. Cette fusion vise à créer un cadre unique, plus simple. Villeroy de Galhau souligne que TLAC et MREL créent une complexité excessive. Une étude montre que les exigences MREL en Europe dépassent de 3,5 points celles du TLAC américain. Les régulateurs insistent sur un ajustement neutre qui ne durcit pas les exigences actuelles.
La France plaide pour un allègement des exigences bancaires en Europe afin de renforcer la compétitivité du secteur financier. Les autorités françaises jugent les règles actuelles trop strictes, freinant innovation et croissance. En allégeant ces exigences, la France espère faciliter l’accès au crédit pour les entreprises et stimuler l’économie. Cette révision pourrait permettre aux banques européennes de mieux concurrencer mondialement. La proposition suscite des débats sur le risque de compromettre la sécurité bancaire. La France préconise un équilibre entre régulation et flexibilité pour soutenir une économie dynamique et résiliente.